Nous refusons de les laisser détruire : aujourd’hui de nombreux services sont sans moyens financiers, sans investissements, sans personnel suffisant. Au contraire, nous demandons leur amélioration en prenant en compte les avis de la population comme du personnel.

Nous refusons les privatisations qui vont augmenter les inégalités de traitement, enrichir des actionnaires plutôt qu’améliorer le bien public et le service rendu à la population.

Nous refusons de faire des travailleur-euses des services publics des boucs émissaires : les statuts ne sont responsables ni des dettes, ni de la baisse de qualité, pas plus que les CDI dans le privé ne sont responsables du chômage.
 

Rappel : les retenues pour grève sont de 1/151^e de la rémunération pour 1h de grève et par heure en deça d’une demi-journée (1/60^e)